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Groupe Scolaire Mampo (GSM), Collège semi-privé 
 
 
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LES NOUVELLES DU GROUPE SCOLAIRE MAMPO

 
 

 
 
 
 
BEPC 2014 70,51 pourcent d'admis au GSM! 
Bravo à toute l'équipe! 
 
VISITE DU METFP AU GSM
Dans le cadre de l'évaluation du GSM pour une éventuelle ouverture de filière, les agents du METFP ont fait montre d'une arrogance inégalée, ce mardi 19 juin 2012. 
Pour ces "demi-dieux" du système, tout un chacun doit trembler de peur à leur arrivée. 
Observez leur remarque lors de la visite de la salle d'informatique: "Etes vous sûrs que ces ordinateurs vous appartiennent?" Et ces mêmes de demander, à la vue d'une salle sans bancs:"Ceci n'est pas une salle de classe car une salle de classe a des bancs. Où sont les bancs?"  
Toute structure a des priorités. Nos routes sont en état de délabrement, ainsi que nos infrastructures. Mais l'Etat travaille selon un plan d'urgence. On ne peut pas tout résoudre à la fois. Il en est de même pour les structures privées. Nous investissons dans les bâtiments et les outils didactiques et pédagogiques. Mais nous n'achetons des bancs supplémentaires que lorsque cela est nécessaire. La livraison des bancs ne dépasse pas 2 semaines de sa commande. Quelle est donc cet acharnement sur cet aspect? En plus, selon leur pensée, si nous sommes de ceux qui ramassent des ordinateurs pour les mettre dans une salle, nous aurions pu remplir les salles avec des bancs qui ne nous appartiennent pas... 
Mais ces remarquent ne plaisant pas à nos "demi-dieux", ils décidèrent de ne plus continuer leur travail. "Si c'est comme ça, nous allons partir!" 
"Eh bien, partez si vous le voulez", leur rétorqua le fondateur. 
"Vous allez le regretter. Savez-vous ce que c'est que de deplacer des agents de l'Etat depuis 400 kms?" 
Il faudrait que cette attitude change si nous autres Africains voulons avancer comme les pays développés. La RCI ne pourra pas être un pays émergent avec des attitudes de ce genre. Nos "demi-dieux" ignorent que l'Etat, c'est nous. Ils ignorent que c'est nous, contribuables, qui les payons et qu'ils nous doivent respect et considération. 
Tristes réalités de chez nous... 
Le service communication du GSM 
 
SEMINAIRE DE FORMATION DES DIRECTEURS DES ETUDES 
Un seminaire de formation a été organisé par le service SAEEP de la DREN de Bondoukou le vendredi 27 avril de 8H à 17H. Ce seminaire a été bien accueilli par tous les établissements car il donnait de plus amples informations sur le remplissage des documents administratifs et montrait les erreurs fréquemment commises. Il faudrait noter, outre le travail titanesque abattu par M Kambiré (SAEEP), la participation (tant appréciée par les DE) de M Solmane Konaté (DREN) qui a promis des échanges de ce genre, sous son mandat. 
 
 
 
RESULTATS DU BEPC 2004-2005 
Nous avons eu l'un des meilleurs resultats: 29 Pourcent d'admis (le meilleur du Zanzan).
 
 
Fraternité Matin (Abidjan) 
20 Juillet 2005  
Publié sur le web le 20 Juillet 2005  
BEPC 2005 : ca-tas-tro-phi-que ! 
Marceline Gneproust 
 
La "chance" n'a souri qu'à 23,04 pourcent des candidats au regard des statistiques portant sur 87,61 pourcent des délibérations. 
Tout comme au baccalauréat, il y a une semaine, les résultats du BEPC ont provoqué des chocs chez les candidats. 
Le BEPC 2005 a livré ses grands secrets hier, en fin de matinée. Dans les centres d'examen où les candidats ont afflué, ils étaient peu nombreux à garder le sourire, tant les résultats sont catastrophiques. Sur un total de 132.187 aspirants au diplôme, 30.453 sont admis, soit un taux de réussite de 23,04pourcent. Un taux des plus bas, si l'on s'en tient aux résultats des deux dernières années, où en 2003, le pourcentage de réussite était de 42,24 et 47,63pourcent en 2004. 
En ce qui concerne les DREN, au nombre de dix (10) - à savoir Abengourou, Abidjan 1 et 2, Bondoukou, Daloa, Gagnoa, Man, San-Pedro, Yamoussoukro et Dimbokro - la région des Montagnes (Man), avec son plus faible nombre de candidats (3388), détient la "palme" de la réusite avec 37,63 pourcent.Les autres régions rivalisent tout aussi bien de faiblesse avec des taux évoluant entre 19 et 250pourcent. 
Comme première remarque, l'on retient que cette année, aucune DREN n'a véritablement transcendé. Bien au contraire, le niveau des élèves baisse dangereusement. Les candidats libres se sont montrés relativement plus consciencieux. Contrairement aux années précédentes, ils ont "tiré" leur épingle du jeu, avec un taux de 28,92 pourcent. 
Deuxième remarque, de nombreux désistements. Sur les 176.877 candidats inscrits, ceux qui ont pu franchir les centres d'examen sont au nombre de 132.187, soit 44.69 pourcent de "pertes".Ce qui dénote un réel désintérêt pour cet examen. Malheureusement, la détermination des candidats présents n'a pas donné grand résultat, de quoi donner le tournis au ministre de l'Education nationale, M. Michel Amani N'Guessan.
 
 
 
LES COLLEGES PRIVES : LA SOLUTION ? 
 
Les collèges privés constituent-ils l'une des solutions au relèvement du taux de scolarisation? Beaucoup le pensent. En effet, en début des années 90, Bondoukou ne comptait que deux établissements privés d'enseignement secondaire: Dua Kobenan et Honoré de Balzac. Seize ans après, quatre autres se sont ajoutés à la liste: Amani N'guessan, Mampo, Ouattara Mahama et GSP. Ce qui fait, environ, 6 000 élèves dans le privé. Une observation s'impose: tous ces collèges privés sont à Bondoukou. Les sous-préfectures comme Sandégué, Tabagne, Sapli-Sépingo, Taoudi, Sorobango, tous éloignées du chef-lieu de département de plusieurs dizaines de kilomètres n'ont pas de collège privé pour accueillir les milliers d'enfants qui n'ont pas la chance d'entrer dans un collège public, chaque année.  
A Bondoukou, comme structure d'accueil de l'Etat, il n'y a que le collège moderne et le Lycée. La mairie a, pour sa part, mis l'accent sur la construction d'écoles primaires dans chaque quartier et dans les villages périphériques pour résoudre le problème de classes boutiques qui se posait en 1989. Les collèges publics en construction sont en panne. C'est le cas du collège moderne de Tabagne qui est un projet BAD. Pour caser les élèves orientés dans cet établissement par l'Etat, une école primaire a été transformée hâtivement en collège. Aujourd'hui, l'évolution de ce collège est irréversible. Le Conseil général a construit certes trois classes mais les besoins sont encore importants. Faute de nouvelles classes, c'est l'école primaire dont les classes seront encore grignotées à la rentrée. Chose qui ne sera pas sans conséquence pour les élèves de ladite école primaire dont les possibilités d'accueil se trouvent ainsi réduites. 
Ecoles privées comme solution contre l'échec scolaire et amélioration du taux de fréquentation dans le Zanzan? Cela peut être admis. Mais ces privés tiennent-ils compte des critiques de parents d'élèves? A la suite de notre enquête courant 2005, il n'y a pas encore eu de grèves dans les établissements privés de Bondoukou depuis la rentrée scolaire, pour salaires impayés. C'est déjà un bon point. Même que trois établissements ont fait des efforts pour améliorer le cadre et les conditions de travail de leurs élèves. Il s'agit, entre autres, du collège Mampo qui a fait un jumelage avec un établissement d'enseignement secondaire basé à Londres (Angleterre qui lui apporte la logistique), le collège Honoré de Balzac qui a rompu avec les grèves des enseignants pour entrer dans une logique d'excellence. Non seulement certaines commodités ont été apportées au fonctionnement de l'établissement, mais, en plus, le personnel a été renforcé en qualifié. Enfin, le collège Amani N'Guessan a non seulement construit de nouveaux locaux mais il a mis un accent particulier à la sécurisation du cadre de travail des élèves et des enseignants. 
Cette observation est d'importance car la plupart des établissements privés, à la rentrée scolaire, usent de fausses publicités pour s'attirer les faveurs des élèves, sacrifiant la qualité de l'enseignement, au gain facile. C'est encore le cas des collèges privés qui continuent à dispenser des cours théoriques d'informatique aux élèves, là où la pratique est d'importance pour la réussite aux examens. Alors que le manque d'électricité peut être résolu par l'achat de groupes électrogènes. 
 
Kader Sébastian 
Correspondant regional 
 
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35,49e réussite 
 
 
RESULTATS DU BEPC 2005-2006 
 
Les résultats du BEPC ont été proclamés, hier, avec un taux de réussite de 35,49 Ces résultats portent sur 79,56es délibérations pour la première session normale du BEPC pour l’année 2005-2006.  
Les résultats du BEPC ont été proclamés, hier, avec un taux de réussite de 35,49 Ces résultats portent sur 79,56es délibérations pour la première session normale du BEPC pour l’année 2005-2006.  
Sur 11 directions régionales (DREN), celles de Bondoukou et Man enregistrent les plus forts pourcentages de réussite. Avec respectivement 44,86 44,67 La DREN de San-Pedro se retrouve au bas de l’échelle avec 20,11e réussite. Néanmoins, sur les 215.745 candidats inscrits dont 157.863 officiels et 57.882 candidats libres, l’on note un taux d’absentéisme très élevé. Qui oscille entre 23,53our la direction régionale d’Abidjan 2 et 52,61pour celle de Daloa.  
 
Auteur:NIMATOULAYE BA  
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RESULTATS AUX EXAMENS 
 
 
 
 

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Modifié en dernier lieu le 8.12.2014
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